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L’homéopathie est aujourd’hui une pratique virulemment décriée – et à travers elle la « mémoire » de l’eau. Cet article, à rebours du discours dominant, propose une lecture critique des travaux qui ont proclamé sa « fin » et qui constituent le fer de lance de cette controverse, en faveur d’une lecture plus complexe des choses.

Cet article fait le point sur les travaux pionniers en physique quantique au sujet de la structure de l’eau liquide, qui montrent que l’hypothèse de la « mémoire » de l’eau est scientifiquement concevable – à contre-courant des a priori majoritaires selon lesquels la « liaison hydrogène » résout de façon pleinement satisfaisante le comportement de cette matière.

La mémoire de l'eau, qui a marqué le public il y a quelques dizaines d'années, est une propriété aujourd'hui considérée comme de la pseudoscience par le milieu académique. Cet article resitue le fond de la polémique et montre que, malgré les jugements actuels, elle demeure une énigme scientifique à considérer sérieusement...

L’eau semble être une matière simple dont on connaît bien les propriétés. Et pourtant, il existe de nombreux aspects inconnus du grand public qui révèlent que l’eau est tout sauf une matière évidente à appréhender. Nous faisons ici un rapide tour d’horizon de ses propriétés complexes et parfois étranges.

Dans une interview célèbre, Bruce Lee évoque l'enjeu d'agir comme l'eau. Une image évocatrice dont on cherche ici à déployer la portée philosophique, sans la restreindre au contexte de la pratique martiale.

L'effondrement de la civilisation Maya est l'un des mystères archéologiques les plus passionnants. Or, si l'on s'y intéresse ici, c'est notamment parce que l'eau y a joué un rôle important, qui résonne avec les questions écologiques actuelles.