DYNAMISATION DE L’EAU

En complément des systèmes de filtration qui visent à améliorer l’eau sur le plan physico-chimique, nous offrons la possibilité d’équiper nos fontaines d’un dynamiseur, lequel vise à rehausser la qualité de l’eau sur un plan plus subtil (souvent qualifié d’énergétique).

La dynamisation de l’eau est sujette à débat, alors que de nombreuses personnes dans le milieu du bien-être s’en emparent aujourd’hui ; c’est pourquoi nous avons mis en place un pôle de recherche pour étudier méthodiquement ce champ passionnant mais controversé.

UN CADRE THÉORIQUE ISSU DE LA PHYSIQUE QUANTIQUE

Le principe de dynamisation fait débat parce que dans l’imaginaire collectif, l’eau serait une matière qui n’aurait plus rien à cacher : toutes ses propriétés sont a priori bien connues et lui attribuer une « mémoire » fait aujourd’hui rire la majorité des scientifiques.

La majorité, mais pas l’intégralité. Peu de gens savent que l’eau fait toujours l’objet de recherches par des spécialistes dans différents domaines, principalement en physique, et que les congrès consacrés à son sujet continuent de conclure que l’eau présente de nombreux mystères irrésolus. Encore moins que tous les aspects de son comportement font de la molécule H2O l’une des plus compliquées à comprendre : en particulier ses interactions pour former le liquide le plus répandu et en même temps le plus important pour la vie sur Terre.

À l’heure actuelle, seule la théorie des champs quantiques apporte les réponses les plus probantes pour aborder l’eau. Or, elle invite à voir l’eau comme une matière en partie « cohérente », c’est-à-dire apte à conserver dans la structure temporelle de ses molécules des informations sous formes de fréquences électromagnétiques, avec des effets directs sur les fonctions cellulaires – la clef de voûte du vivant.

LA DYNAMISATION EN DEUX MOTS

Nous ne faisons qu’esquisser ici les principes de la dynamisation et le cadre théorique qui lui donne du crédit. Si ces questions suscitent un intérêt qui va au-delà de ces lignes, nous invitons à jeter un œil sur la page consacrée aux recherches que nous menons en lien avec les travaux des pionniers en la matière.

La dynamisation est liée à la notion de « mémoire de l’eau » qui a provoqué l’une des plus sulfureuses controverses scientifiques des dernières décennies. Si l’on entend toutefois par « mémoire » non une capacité comme celle de se remémorer à la façon dont fonctionne la mémoire humaine mais une capacité physique qui consiste à conserver dans le temps un comportement spécifique, on peut voir se dessiner plus précisément le lien entre le concept d’énergie en physique et la mémoire de l’eau.

Dynamiser l’eau consiste ainsi à lui permettre de se structurer de façon cohérente en introduisant des colloïdes – des microparticules de matière – notamment par le biais d’un vortex, de façon à accroître la quantité d’informations, c’est-à-dire de fréquences (qui est aussi une énergie en physique quantique en vertu de la relation de Planck-Einstein) que peut encoder l’eau.

L'EXEMPLE DU VODAFLOR

Il existe actuellement de nombreux systèmes de dynamisation qui exploitent différents principes ; certains se retrouvant fréquemment sous différentes modalités – la dynamisation par vortex étant le plus répandu.

C’est celui qui est au cœur du Vodaflor, qui est l’appareil élaboré par le Dr Guy Londechamp et Christian Bosio : son architecture torsadée fabriquée par des artisans qualifiés en France a vocation à imprimer un mouvement rotatif à l’eau pour en rehausser sa qualité intrinsèque sans faire intervenir des moteurs électriques, en faveur d’une simplicité inspirée par les lois de la nature.

Près de 500 dossiers expérimentaux réalisés par les concepteurs témoignent de son efficacité pour renforcer le potentiel de vitalité de l’organisme.

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